quinta-feira, 22 de agosto de 2019

AU RETOUR DU FLÂNEUR


https://auretourduflaneurlesarbres.wordpress.com/2019/06/26/voyager-dans-un-coqueirpar Licia Soares de Souza
20181228_145219 D'aussi loin que je me souvienne, je me vois comme une enfant couchée dans un hamac. J’observe un ciel bleu foncé à travers des palmes de cocotier qui balancent doucement sous une brise maritime qui tempère la chaleur des après-midis d’été. Je suis au bord d’une plage de l’Atlantique. Je ne sais pas que le cocotier de mes terres est un immigrant. Il est en effet venu des côtes asiennes, mais on ne sait pas vraiment d’où ni comment. Ce que l’on sait, c’est qu’il est maintenant le roi des côtes brésiliennes. Le paysage estival s’y définit en fonction des coqueirais qui s’y répandent. Les botanistes disent qu’il n’est pas un arbre, mais une plante spéciale. Une plante qui donne tout son sens à l’idée de verticalité et d’ascension existentielle. On innove constamment pour trouver de nouvelles façons de grimper à un cocotier. Les nouvelles technologies aident à diffuser toute sorte de produits sportifs permettant d’accéder à ce sommet de vie et de bonheur. En fait, on grimpe plus pour cueillir le fruit, la noix de coco, que pour l’amour du sport. Un proverbe circule au Brésil : « Plus le cocotier est long, plus fatale est la chute ». Dans le sens métaphorique, cela évoque aussi l’ampleur d’une déchéance morale, une grosse déception, par exemple, émanant de là où on ne l’attend pas.
Même si les origines du cocotier sont entourées de mystères, les chroniqueurs portugais se sont attribué le mérite du baptême du végétal. Le mot coco viendrait d’un verbe cocarsignifiant sourire, faire une grimace. Une chose est certaine, la noix de coco assure le gagne-pain de millions d’hommes et de femmes, éparpillés sur les côtes brésiliennes. On boit sa merveilleuse eau et on déguste sa chair pendant toute l’année. C’est probablement la boisson la plus consommée au pays. En outre, ils font des tressages avec ses longues feuilles pour construire des toits de maisons, fabriquer des sacs, des objets décoratifs, des paniers, etc. La noix de coco produit aussi de l’huile pour la gastronomie brésilienne, ainsi que des huiles pour les cheveux, des crèmes corporelles et médicales.
Le voyage au pays des noix de coco est merveilleux. Il dévoile une sensibilité aux sons et aux couleurs des paysages maritimes. Associés au vert de ses feuilles, se présentent également le bleu de la mer avec ses moutons et tous les tons de blanc et de jaune du sable. S’adosser au stipe de cette plante connote une sorte d’ensablement qui nous conduit vers un relâchement des forces vitales. Ne nous confie-t-il pas que rien n’est plus tonifiant que cette posture reposante témoignant d’une intime liaison avec des grains de sable provenant de la décomposition de roches, coquilles, minéraux, effectuée par l’eau salée de la mer? Sur une plage, on célèbre une espèce de bonheur radieux, réchauffé par les rayons dorés du soleil qui illumine le ciel contemplé à travers les couronnes de feuilles des cocotiers. Les rêveries maritimes nous écartent des imaginaires du quotidien : elles éveillent les plus vives impressions de la fuite comprise comme synonyme de liberté, création, innovation. C’est alors que se trouvent rassemblées les conditions pour admirer un paysage, pour en ressentir l’alliance esthétique entre un rêveur et son monde.
Il est vrai que, parfois, l’ardent soleil châtie l’espace sablonneux entre les coqueirais et la mer. La chaleur écorche nos semelles. Dans ces conditions, courir jusqu’à l’eau exige une bonne forme physique. Un bon imaginaire n’est pas souvent harmonieux, et il est le théâtre de conflits entre l’extérieur et la protection intérieure. La lutte entre l’humain et sa nature ramène précisément les rêveurs dans le règne de la vastitude sans bord qui dynamise leur présence au monde. Nous avons toujours constaté que l’imagerie donne aussi une prise aux humains leur permettant d’explorer leur environnement, même s’ils sont sur les sentiers de la fuite.
Combien de fois ai-je essayé de grimper à un cocotier sans succès?  Les techniques pour ce faire sont très difficiles à maîtriser. J’ai même l’impression que ce sont des mouvements pour hommes, car je n’ai jamais vu de femmes le faire. Pour moi, la richesse géopoétique de la hauteur d’un cocotier se mesure quand je suis couchée dans mon hamac et contemple la superposition de la couronne de feuilles vertes sur la bleuité du ciel. Évidemment, le chant des oiseaux et le bruit des vagues de la mer sonorisent ce genre de paysage qui m’habite depuis l’enfance.
Puis, la nuit tombe. À travers les feuilles des cocotiers, il est possible de voir la Croix du Sud : une constellation de cinquante-quatre étoiles, dont dix-huit sont visibles à l’œil nu, mais dont cinq seulement brillent intensément pour former une croix dont la grande branche est orientée vers l’hémisphère Sud. Cette branche a orienté les navigateurs portugais du XVIe siècle se dirigeant vers le Brésil, et, grâce à elle, ils ont découvert cet immense littoral habité  par de grands palmiers féconds. Pour les Brésiliens, ces étoiles sont entrelacées les unes avec les autres par des liens qui ont tous des sentiments et des valeurs, à un tel point que l’une dépend de l’autre et trace la route à ces sentiments et à ces sensations qui les animent.
Finalement, on essaie de tisser des harmonies, à travers la rêverie, concernant les coqueirais,et tout se met à communiquer et à se recouvrir, les bruits de la nature, et nos mots, un jeu de sonorités qui donne une idée de nos relations au monde. C’est la rêverie marine, identifiée aux idées de changement, de bouleversement ou de liberté, qui contribue à la tension que nous vivons au jour le jour, déchirés que nous sommes entre l’appel de l’ailleurs et l’attrait de l’ici.
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Licia Soares de Souza Web Developer

sábado, 17 de agosto de 2019

DER ATEM DER GEFÜHLE


Der Atem der Gefühle fala da respiração de sentimentos. Prazeres e dores pulsaram, circularam e incomodaram... A autora tem uma visão poética da experiência sensível de seu corpo e alma, de seu estar no mundo, de seu estar com o outro. Privilegia, porém, a intimidade com as palavras que sabem se desgarrar dos referentes concretos de seus gritos de ânsia, podem se articular umas com as outras, devem revelar o próprio fazer poético.... Aqui, muitos poemas falam da natureza, de viagens em um barco que transporta expectativas de amor .... O barco navega, testemunha a mudança de identidade dos amantes que se entregam, o barco geme, canta e valseia nas águas dos destinos que se entrecruzam.... Fruto de experiências em atividades extraclasse do Instituto Cultural Brasil Alemanha de Salvador, na Bahia, que esta antologia poética possa agradar a professores, alunos e simpatizantes da língua alemã que parece ter sido criada para o amor.


Licia Soares de Souza Web Developer

Imaginaires Transculturels entre le Canada et le Brésil


https://www.societedesecrivains.com/imaginaires-transculturels-entre-le-canada-et-le-bresil.html/">


« Ces romans défont et construisent tout à la fois, par une ambiguïté toujours vivace, les noyaux symboliques qui s'amalgament pour fonder ce qu'on peut appeler les espaces-gigognes. Si les charnières montrent la nature des contacts, les gigognes font ressortir les modes d'emboîtement signique qui président aux symétries et/ou asymétries entre les frontières et les centres des sémiosphères. » L'essai de littérature comparée de Licia Soares de Souza rassemble les conclusions de ses recherches menées dans le cadre de colloques universitaires au Brésil, en France, au Québec et au Manitoba. Il vise à rendre compte des fructueux échanges culturels entre le Brésil et le Canada, et plus particulièrement des relations littéraires interaméricaines. À travers l'analyse comparative de plusieurs romans, la chercheuse révèle la présence de similitudes frappantes dans la représentation des rébellions métisses du XIXe siècle menées au Canada par Louis Riel et au Brésil par Antonio Conselheiro. Sa réflexion autour du transculturalisme des Amériques traite également des problématiques de l'espace urbain en prenant comme exemples Montréal et São Paulo.
Licia Soares de Souza Web Developer

sábado, 6 de julho de 2019

Écrivaines et Mondialisation. ACFAS 2019








87ème Congrès de l’ACFAS
Université du Québec à Outaouais




Mai 2019





















Introduction

Le Colloque a commencé à 9h du 27 mai dans le cadre du 87ème Congrès International de l’ACFAS, à l’Université du Québec à Outaouais. Après le mot d’ouverture, quand les organisatrices ont souhaité  la bienvenue aux participants, les séances de communication ont commencé, selon le programme ci-joint. Comme nous pouvons le voir, le colloque a regroupé des chercheurs  des universités du Québec, et aussi  de l’Europe, Turquie et Brésil.
J’ai prononcé ma communication intitulée Montréal et Salvador dans la dynamique narrative de Monique Proulx et Inês Pedrosa. Cette communication examine comment deux écrivaines, l’une du Québec, l’autre du Portugal/Brésil, collaborent à la féminisation de la littérature contemporaine par le prisme de leurs réflexions sur certains déplacements historico-symboliques, tout en mettant en lumière le formidable réseau de savoirs qui circulent dans ces espaces du continent américain depuis la colonisation.
             La première écrivaine que nous présentons est Monique Proulx. Native du Québec, elle a obtenu un baccalauréat en littérature et en théâtre de l’Université Laval. Devenue professeur de français et animatrice de théâtre, elle s’est orientée plus intensivement vers l’écriture. Sa première publication est un recueil de nouvelles intitulé « Sans cœur et sans reproche » (1983). En 1996, elle a signé un deuxième recueil de nouvelles : « Les Aurores montréales ». Elle est également l’auteur de romans comme « Le Sexe des étoiles » (1987), qui est adapté au cinéma. Elle a été honorée à maintes reprises pour ses œuvres, notamment « Sans cœur et sans reproche » pour laquelle elle a reçu en 1983 le prix Adrienne-Choquette et le prix littéraire Desjardins. J’ai travaillé sur son dernier roman  Ce qu’il reste de moi,  de 2015.
   La deuxième écrivaine est Inês Pedrosa, d’origine portugaise, qui a obtenu une licence en communication à l’Université Nouvelle de Lisbonne. Journaliste et auteure de plusieurs récits pour enfants, et de chroniques féministes, elle a milité contre la criminalisation de l’avortement et pour le mariage de personnes du même sexe. Elle a été la leadeuse de la Marche de la fierté Gay em 2005, à Lisbonne. En 2008, elle a publié le roman A Eternidade e o Desejo (L’Éternité et le Désir)  qui se déroule dans la ville de Salvador, première capitale du Brésil, qu’elle avait visitée quelques années auparavant.
              Proulx et Pedrosa abordent un imaginaire de mouvance, tout en mettant en évidence une multiplicité de trajectoires qui fonctionnent comme des connexions contradictoires, souvent inespérées, et des croisements de narratives formant des espaces toujours en conflit. Elles soulignent l’instabilité des formations sociales, grâce à l’asymétrie entre l’imaginaire culturel et la mobilité des réseaux historiques. Elles font ressortir, de la sorte, les ambivalences des écritures des mouvements migrants qui ont marqué les métissages issus des rencontres différenciées sur les territoires des Amériques.
                       Dans Ce qu’il reste de moi,  Proulx  entend montrer plusieurs visages de Montréal comme espace urbain particulier du Nouveau Monde. Elle évoque les récits de Jeanne Mance au sujet de son projet de la « Folle Entreprise », entre 1642 et 1665, qui aurait des influences  sur les récits actuels sur le Montréal contemporain qui pourrait être un reflet de ce projet du temps de la Nouvelle France. Celui-ci repose sur un rêve qui profile le Nouveau Continent : avec le soutien de grands donateurs privés,  ils érigeraient une ville « mixte », au sein de laquelle les Européens immigrés et les Amérindiens devenus chrétiens vivraient ensemble, dans un climat d’harmonie et de solidarité. Proulx déclare qu’un tel projet de cohabitation harmonieuse n’a jamais été mis en œuvre, mais il a nourri pendant des siècles une représentation dans l’esprit des Montréalais. Celle de la construction d’une cité où ses nouveaux habitants, les immigrants venus des quatre coins du monde, trouveraient un espace idéal d’accueil pour vivre en communion avec les natifs.
Pedrosa crée, d’un autre côté, la personnage Clara qui projette les points de vue du Père Antonio Vieira sur l’espace qu’elle traverse. Ce jésuite, célébré par l’immense poète Fernando Pessoa « Empereur de la prose portugaise », a peu à peu développé, d’abord auprès de correspondants ecclésiastiques, puis dans différents ouvrages, une interprétation renouvelée du mythe sébastianiste (et des prophéties de Bandarra), dans laquelle il annonce l’avènement futur d’un Quint-Empire (Cinquième Empire) universel dominé par le Portugal sous l’inspiration du Saint-Esprit, après la résurrection du roi Jean IV. Cet Empire fonctionnerait comme la Folle Entreprise de Jeanne Mance : à savoir une perspective d’union harmonieuse entre les colons et les Amérindiens. Vieira avait une autre perception de ces derniers. Il ne ménage pas ses critiques au régime de l’esclavage africain, tout en faisant part d’idées neuves sur la Compagnie de Commerce entre le Portugal et le Brésil.
Au fond, la structure narrative des deux romans suit un cheminement similaire. La narrativité se fait transmission, les jeux de voix et les métissages des langages parviennent à révéler une réalité complexe, qui permet l’interculturel, mais pointe les difficultés d’intégration des cultures différenciées encore présentes dans les sociétés visées. Salvador,  première capitale du Brésil, bâtie avec la sueur des esclaves, continue d’affronter des problèmes d’exclusion sociale. Quelques centaines d’années plus tard, Ville-Marie - devenue Montréal - abrite des hommes et des femmes qui se battent, chacun à sa façon, pour redresser les fortifications d’une vie en proie à diverses vicissitudes, mais rencontre également des problèmes d’exclusion/inclusion. C’est ainsi que ces écrivaines, Proulx et Pedrosa donnent vie à une dynamique de l’imaginaire, une activité d’interaction entre des confluences dialogiques spécifiques. Elles montrent comment la fiction fait jouer les figures renouvelées de certaines utopies du Nouveau Monde dans les textes littéraires, textes qui témoignent d’une puissante facture féminine pour porter un regard neuf sur l’histoire.
Échanges
Nous voyons que mes activités de recherche sont notamment basées sur les collaborations pluridisciplinaires que j’ai développées depuis le début de ma carrière. J’ai beaucoup privilégié les études comparées, au sein des réflexions des études interaméricaines. Les collaborations interdisciplinaires mises en place depuis quelques années commencent à porter leur fruit et notamment sous forme de réseau de recherche, ce qui permettent de faire connaitre nos travaux à travers le monde. Et surtout au sein du réseau de québécistes de l’AIEQ. En mai, j’ai participé également à l’Assemblée Générale de l’AIEQ et à la réunion du Conseil d’Administration.
Ma liste de publications compte actuellement plusieurs articles et livres  sur les relations Canada/Brésil et sur la Géopoétique de Montréal. J’ai co-encadré deux thèses en cotutelle avec l’Université Fédérale de Bahia et la Sorbonne, portant sur l’identité juive au Brésil et au Québec à travers l’œuvre de Régine Robin en comparaison avec des écrivains brésiliens. J’ai participé à plusieurs jurys de maitrise et doctorat en études canadiennes, au Brésil, ou en études brésiliennes , au Québec.



Impact et retombées.  Un projet novateur et pertinent qui rayonne.
La thématique du Colloque innove, en ce qu’elle met en place des réflexions sur la production féminine qui a toujours été marginalisée. Caroline Ferrer et ses étudiantes ont présenté les bases de la méthode de la criticométrie, destinée à exposer la participation des écrivaines dans la sphère interaméricaine. Dès la fin de la guerre froide, à l’ère de la mondialisation, nous observons le surgissement de plusieurs voix féminines qui essayent d’affleurer dans le monde littéraire, dominé encore para les écrivains.
Notre projet suscite l’intérêt de plusieurs autres chercheurs qui aimeraient y participer l’année prochaine, à l’Université de Sherbrooke. Nous allons publier les Actes du Colloque dans une revue savante du programme d’études avancées de l’Université de Bahia : Pontos de Interrogação.  Nous commençons déjà à recevoir des textes de chercheurs qui n’ont pas participé au colloque, mais qui aimeraient collaborer au volume spécial sur les Écrivaines et la Mondialisation.
Le programme de notre colloque témoigne de notre rayonnement international.
















Attestation


Programme

Écrivaines et mondialisation
Le lundi 27 mai 2019
Dès la fin de la guerre froide, nous observons le surgissement d’un nouvel ordre géopolitique : la mondialisation (Dirlik, 2007; Freitag, 2008; Gélinas, 2000; Lewellen, 2002; Sassen, 2009). Ce changement entraîne aussi des métamorphoses culturelles, telles que la fin du postmodernisme, événement confirmé au début du 21e siècle (Hutcheon, 2002; Hassan, 2003; Ferrer, 2010). Pendant la même période, nous constatons que, du point de vue des études littéraires, de nombreux théoriciens se penchent de nouveau sur le concept de littérature mondiale (Casanova, 1999; Prendergast, 2004; Damrosch, 2003, 2011, 2014; Miller...Lire la suite »
Remerciements
L'organisation de ce colloque est financée par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada.
Colloque
Section 300 - Lettres, arts et sciences humaines
Responsables
UQAM - Université du Québec à Montréal
UQAM - Université du Québec à Montréal
UQAM - Université du Québec à Montréal
Ajouter à mon horaire
·         Lundi
27 mai 2019
AVANT-MIDI
10 h 00 à 12 h 00
Communications orales
 Dialogues transculturels au féminin 
Présidence/Animation : Roxane Maiorana (UQAM - Université du Québec à Montréal)
 Batiment : UQO A.-Taché

 Local : A0108
10 h 00
Mot de bienvenue
10 h 20
Éthique de la rencontre et pensée décoloniale : écrivaines amérindiennes et subsahariennes
Carmen MATA BARREIRO (Universidad Autónoma de Madrid )
10 h 40
Féminins nihilistes et résistance : le parler-pute
Sabrina Clermont-Letendre (UQAM - Université du Québec à Montréal)
11 h 00
Échanges transculturels chez Monique Proulx et Inês Pedrosa
Licia SOARES DE SOUZA (UQAM - Université du Québec à Montréal)
11 h 20
La place des écrivaines autochtones dans la littérature mondiale
Rita Olivieri-Godet (Université Rennes 2, France)
11 h 40
Période de questions
DÎNER
12 h 00 à 13 h 00
Dîner
 Dîner 
 Batiment : UQO A.-Taché

 Local : A0108
APRÈS-MIDI
13 h 00 à 14 h 15
Communications orales
 Figures européennes 
Présidence/Animation : Silvia Sosa (UQAM - Université du Québec à Montréal)
 Batiment : UQO A.-Taché

 Local : A0108
13 h 00
L’avènement du féminisme en Turquie : Duygu Asena sur les pas de Simone de Beauvoir
Eylem AKSOY ALP (Université Hacettepe)
13 h 20
La réception mondiale de L’Amie prodigieuse : un état des lieux
Mallory Trocadero (UQAM - Université du Québec à Montréal)
13 h 40
La place des femmes dans la littérature italienne des années 1900 à nos jours
Rémi Chiasson-Villeneuve (UQAM - Université du Québec à Montréal)
14 h 00
Période de questions
14 h 15
Pause
14 h 30 à 16 h 10
Communications orales
 Minorités (in)visibles 
Présidence/Animation : Rémi Chiasson-Villeneuve (UQAM - Université du Québec à Montréal)
 Batiment : UQO A.-Taché

 Local : A0108
14 h 30
Littérature mineure aux États-Unis : le cas des écrivaines dites "Hispanics"
Roxane Maiorana (UQAM - Université du Québec à Montréal)
14 h 50
Les rôles de Victoria Ocampo et de Silvina Ocampo dans la littérature argentine
Silvia Sosa (UQAM - Université du Québec à Montréal)
15 h 10
Cartographie de la littérature mondiale au féminin
Carolina Ferrer (UQAM - Université du Québec à Montréal)
15 h 30
Période de questions
15 h 45
Mot de clôture

















Quelques photos







Licia Soares de Souza Web Developer